PAULJAC brand

PAULJAC : naissance de la marque de chaussures d’intérieur

Travail sur la marque Bokit

PAULJAC: Comment tout a commencé ?

L’aventure de PAULJAC initialement appelé BOKIT a commencé il y a deux ans. Mais revenons un peu en arrière.

Juin 2009, un diplôme en mode et design en poche, je rentre dans le monde du travail.

Pendant sept ans j’ai travaillé pour de belles Maisons françaises comme JM Weston, Sonia Rykiel, Façonnable où j’ai appris la vente, le conseil et par la suite, le management.

Toutes ces années d’expérience m’ont permis par la suite de pouvoir présenter ce qui n’était au départ qu’un projet. Pouvoir vendre mon produit, convaincre mes interlocuteurs est une étape essentielle dans la réussite d’une entreprise.

BOKIT : le point de départ du projet

Et puis, il y a eu ce jour ou plutôt ces jours où je recevais du monde chez moi et je ne savais jamais comment me chausser.

Les talons ne sont pas forcément confortables et puis sur le parquet du salon… pas top ! Pieds nus ou en chaussettes…il y a plus élégant !

Même constat autour de moi. Alors, comment se chausser quand tes collègues viennent dîner à la maison ? Quoi porter quand tu veux être à l’aise tout en gardant ton style ?

Alors j’ai commencé par dessiner quelques modèles. L’idée était simple : faire des chaussures confortables mais aussi esthétiques.

Bokit : l’origine du nom

La marque BOKIT est alors née.

Mais pourquoi ce nom ?  Eh bien, trouver un nom pour une marque est loin d’être simple, croyez-moi !

Vous multipliez les brainstormings, pour trouver le bon mot celui qui sera votre identité.

A cette période, j’ai fait un voyage en Guadeloupe.

GuadeloupeA ce moment-là je me suis dit “fais un break, n’y pense plus et après ces vacances, tu auras l’esprit plus clair”.

Et là, j’ai eu une révélation ; je me suis dit “tiens, je n’ai qu’à appeler la marque BOKIT”

Autant vous dire que pour le repos, c’était raté ?!

La suite nous a amené à reconsider notre marque , repenser notre univers , un parcours intense et incroyable qui nous a amené finalement à  PAULJAC.

Affaire à suivre donc…

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